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dimanche 10 janvier 2016

L'enfance de ma grand-mère

Bonjour à tous!! Maintenant je vais expliquer "L'enfance de ma grand-mère".

Ma grand-mère Isabel m'a raconté que son enfance était complétement differente à la nôtre.
Quand elle était petite, elle habitait dans une petite maison avec ses parents et ses neuf frères et soeurs.
À neuf ans, ma grand-mère a quitté l'école, parce qu'elle devait prendre soin de ses frères et soeurs.
À cette époque le collège m'avait qu'un cours pour tous ses éleves. Chacun avait un âge different. Très peu d'éleves allaient au collège et ils apprenaient à lire et à ècrire.
Comme j'ai dit avant, à 1944, les femmes pouvaint prendre sein de ses frères et soeurs et avoir des enfants. Elles ne pouvaient pas sortir avec leurs amis ni jouer. Elles allaient au marchè avec 1 au 2 pesetas pour acheter des poissons, des légumes, de la viande ... mais les pommes de terre etaient très chers. Alors, la société était plus machiste que aojourd'hui.
Plus tard, à part de prendre soin de ses frères et soeurs et de faire les tâches ménagères. Ma grand-mère travaillant la nuit dans l'usine de poupées Marín, pour obtenir un peu plus d'argant.
Et quand les fêtes de Noël arrivaient, comme mon arrière grand-mère n'achetait pas de cadeaux de Noël à ses enfants, ma grand-mère leur en achetait un avec ses économies.
Après à 15 ans, ma grand-mère a eu  son premier petit-ami, mon grand-père Juan. Mon arrière grand-père est allé à Amsterdam pour travailler et après 3 ans, mon arrière grand-mère voulait habiter lá, avec son mari. Alors, ma grand-mère s'est mariée avec mon grand-père pour rester en Espagne.
Autrefois, tu seulement avais un petit-ami et les piançailles étaitent très longues. Aussi les petits-amis se mariaient très jeunes.
Ils ne voyagaient pas en vacances, mais pour le travaille. Les moyens de transport, comme les trains et les avions, étaient très chers et c'est pour ça que la mayorité des habitants ne voyageaient pas.
Il y avait beaucoup de pauvreté. Seulement avaient de l'argent 3 ou 4 personnes dans la ville. Mon grand-père Juan mangeait des peaux de banane.
Aussi il y avait peu de securité et plus de maladies parce qu'il n'y avait pas d'hôpitaux et seulement il y avait deux medecins à Chiclana. Alors, il y avait plus de morts.
Le compartement des enfants a changé parce que avant les enfants partageaient, respectaient leurs parents, étaient travailleurs... mais pas maintenent.
Les vêtements étaient très laids mais avant il y avait des minijupes comme aujourd'hui.
Avec la culture très peu de personnes allaient au théâtre ou cinéma.
Au début il y avant très peu de technologies. La première c'est la télé noir et blanc et après la télé en couleurs que seulement le magasin Eloy Aguilar avait. Aujourd'hui ma grand-mère a un téléphone et elle l'utiliçe bien, elle m'a dit que c'était difficile le changement, surtout des tecnologies, mais voilé.
Finalement, ma grand-mère affirme qu'aujourd'hui c'est mieux.


lundi 4 janvier 2016

Le rècit: Le train de L'assassin

Le train de L'assassin

Jeudi après-midi la policière Béatrice Martin et ses compagnons, Zudaire et Delarue, sont en train de courir dans les rues oscures de Paris. Ils essaient de prendre un assassin qui a assessiné sa femme. Tout à coup ils arrivent à la gare et l'assassin prend un train avec destination Barcelona. Malheureusement la policière Martin le perd.
            -Où est l'assassin? -demande à ses compagnons le policier Zudaire.
            -Je ne sais pas! Il a pris un train. -dit Martin.
            -Alors, nous devons dire ça au capitaine... -dit Delaue.
            -Non! Je ne pars pas de ce train jusqu'à ce que l'assassin apparaîsse c'est l'unique piste que                    nous avons! -exclame Martin.
           -Bien...Nous partons au commissariat. Quand tu sauras quelque chose, tu nous le diras! -dit                    Zudaire.
           -OK -afirme Martin.
           -À bientôt! -disent les compagnons.
           -À bientôt!
Les semaines pasent et tous les jours la policière Martin prend le même train d'après-midi, pour trouver l'assassin parmi des ètrangers.
           -Ring, Ring...
           -Allô?
           -Martin, c'est le dernier jour que tu perd le temps dans ce train! -crie le captaine à Martin.
           -Mais...
           -Non! Aujourd'hui c'est le dernier jour! Tu l'as bien compris?
           - Oui, je l'ai compris.
           -Au revoir!
           -Pardon, vous pouvais me donner ma valise s'il te plaît? -demande Martin à l'employé du train.
           -Bien sûr! -la voici.
           -Merci...
Martin chercherait l'assassin parmi des étrangers mais non parmi des employés du train. Elle voyait que le bracelet de cet homme était le même que celui de l'assassin.
           -Attendez-s'il vous plaît!
           -Dites-moi mademoiselle.
           -Ce n'est pas ma valise...crack!
Et quand Martin lui donne la valise, elle lui met des menottes. À la fin, il paie pour l'assesinat de sa femme et il va en prison.